Ce qu'en pense la communauté
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Micro-critique star (Kokeshi_Kitano) :
Kokeshi_Kitano
(à propos de Compartiment n° 6)
“ Voyager, c’est partir à la découverte de l’autre. Et le premier inconnu à découvrir, c’est soi.Train renommé désir. ”
— Kokeshi_Kitano
14 janvier 2023
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Kokeshi_Kitano
(à propos de Compartiment n° 6)
“ Voyager, c’est partir à la découverte de l’autre. Et le premier inconnu à découvrir, c’est soi.Train renommé désir. ”
— Kokeshi_Kitano
14 janvier 2023
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jroux86
(à propos de Compartiment n° 6)
“ Une certaine idée du voyage. Kuosmanen nous transporte quelque part au bout du monde, là où l’on entend le mieux sa petite voix intérieure. ”
— jroux86
11 novembre 2021
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commentaire modéré Le choix de situer l’action dans les années 90 n’est peut-être pas innocent. Pas de GPS, pas de portable, pas d’adresse mail. On se rencontre un peu au gré du hasard, on accepte de ne pas forcément savoir où l’on va, avec qui. Il y a dans Compartiment N°6 une forme de lâcher-prise qui tranche forcément avec notre façon actuelle de nous déplacer, avec notre époque en général. Un exemple parmi d’autres : malgré une récente embellie, il n’existe quasiment plus de trains de nuit en France. Une certaine idée du voyage donc, pourtant pas si lointaine…
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Anna_K
(à propos de Compartiment n° 6)
“ Quand celui qui sait où est sa place, aussi modeste soit-elle, guide l'autre vers la sienne propre et en sort grandi. Joli et très russe. ”
— Anna_K
8 janvier 2022
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commentaire modéré Lorsque j'écris "joli", c'est que j'ai trouvé le film délicat, notamment dans son approche des deux personnages principaux et dans leur évolution au contact loin de l'autre. Cela m'a bien plu que le jeune Russe se revendique au début de 'l'Empire' et que l'Occidentale soit un peu à côté de ses pompes, même si (parce que ?) elle est lettrée. Si ce 'train-movie' reste bien sur ses rails, et nous tient prisonnier jusqu'à son terminus, il n'empêche que dans les années 90, les trains prenaient leur temps et les arrêts (parfois très longs) sont prétextes à incursion dans la Russie profonde, ce qui est vraiment plaisant. Cela étant dit, le film est lent et sombre, filmé en caméra à l'épaule (?), mais si l'on accroche, il est émouvant.
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