The Last Showgirl
(2024)
un film de
Satisfaction communauté 46%
The Last Showgirl

The Last Showgirl

(2024)
un film de
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  • 46%
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Micro-critique star (Oriwa) :
Oriwa
(à propos de The Last Showgirl)
Sa note :
The Last Showgirl “ Le rythme, les couleurs et les lumières, les actrices, la musique... Tout y est sublimé. La beauté de la triste réalité scintille toujours. ” — Oriwa 24 mars 2025
1 commentaire
  • Oriwa
    (à propos de The Last Showgirl)
    Sa note :
    The Last Showgirl “ Le rythme, les couleurs et les lumières, les actrices, la musique... Tout y est sublimé. La beauté de la triste réalité scintille toujours. ” — Oriwa 24 mars 2025
    1 commentaire
    • commentaire modéré Entre Gia et Sofia Coppola, c'est le cinéma que j'aime, ou peut-être aussi celui que j'ai d'office envie d'aimer.
      24 mars 2025 Voir la discussion...
  • SpectateurLambda
    (à propos de The Last Showgirl)
    Sa note :
    The Last Showgirl “ Traiter du fait de vieillir quand on est une femme dans le showbiz avec humanité et douceur. Bémol au niveau d'une réalisation démonstrative ” — SpectateurLambda 16 mars 2025
    1 commentaire
    • commentaire modéré Je me dois d'être honnête et transparent, l'histoire d'une meneuse de revue à Las Vegas en fin de gloire, incarnée par l'ancien sexe symbole qui salît tant de draps adolescents dans les années 90, Pamela ANDERSON, si je n'avais pas eu de carte d'abonnement et avais dû payer le prix du ticket, je passais mon tour.
      La bonne surprise qu'il est pour moi est d'autant plus agréable.

      Oui, en effet, le film est une bonne surprise et si il me sera difficile de ne pas faire état de ses faiblesses, je trouve ses qualités suffisamment notables et maîtrisées pour vous inciter à donner une chance à ce film.

      A l'instar du The Substance de Coralie FARGEAT le film a pour sujet principal le fait de vieillir, et plus particulièrement quand on est une femme, dans le showbiz. Or si cette thématique vous parle mais que le film de Fargeat a été une épreuve en raison de sa radicalité et de son outrance, ce que je peux comprendre, ici l'ensemble est traité avec beaucoup de douceur et d'humanité.

      L'humanité est d'ailleurs ce qui pour moi innerve le métrage, l'humanité dans ce qu'elle a de bonté mais aussi de cruauté. On la retrouve en premier lieu dans ce qui tient de point de départ au film, la fin annoncée du spectacle auquel participait Shelly depuis trente ans. Ce show à l'ancienne, succédané aux grands spectacles de cabarets parisiens, c'est tout à la fois sa vie et sa fierté, mais ce choix de carrière implique aussi le sacrifice de sa vie de famille, de sa fille en particulier.
      On retrouve cette humanité dans les relations qui lient les différents protagonistes, ces relations qui oscillent entre profonde affection, empathie, soutien et coups bas ou expressions, parfois puériles, de ressentiments qui parce que l'essentiel réside dans les liens créés au cours des années à partager la scène et les coulisses, le succès et le déclin du show qui forme l'essentiel de leurs vies.

      L'humanité, enfin, s'incarne dans le personnage de Shelly, qui permet à Pamela Anderson de délivrer une prestation admirable, d'une douceur et d'une profondeur à laquelle il faut l'avouer on ne la croyait pas capable - ah l'image publique que laisse un rôle iconique et un scandale de tabloïds - or elle est formidable, d'une émotion rare, touchante, crédible, ce rôle lui va comme un gant. Tant dans son jeu que dans sa présence physique, elle est Shelly, elle est cette femme persuadée d'avoir pris part à une grande œuvre artistique et même si au fur et à mesure des années sa place dans le tableau s'est déplacée dans le fond pour laisser l'avant plan à la jeunesse, à la fraicheur. Elle est cette carriériste qui a sacrifié sa relation avec sa fille pour poursuivre son rêve de paillettes, de strass et de gloire illusoire et quand la fin se précise, elle est cette femme apeurée par l'avenir et pleine de maladresses dans sa façon de renouer des relations ou de renforcer celles présentes.

      J'aimerais dire un mot sur Jamie Lee CURTIS dont le rôle de la vieille copine fantasque m'a évoqué dans son envie de casser son image de "The Body", surnom qui lui fut donné en raison de sa plastique avantageuse, celui qu'elle tient dans Everything Everywhere All at Once dans son approche ludique et de déconstruction. Une prestation que certaines critiques que j'ai lu considèrent comme cabotine, voire outrancière, je ne suis pas d'accord. Elle joue une ancienne danseuse de nu, qui devenue vieille a pris un emploi comme serveuse en costume de "Bunny" qui boit des margaritas au petit déjeuner et qui claque son fric dans le jeu, évidemment qu'elle doit être bruyante et exubérante !
      Dave BAUTISTA m'a également agréablement surpris dans un registre que je ne lui connaissais pas, un homme à la fois empli de virilisme mais à la sensibilité exacerbée et assumée.

      Rien que pour ces arguments, le film mérite qu'on s'y intéresse, mais parce qu'il faut bien un bémol il sera pour moi dans certains choix de mise en scène, qui manquent parfois de finesse ou pour le dire autrement donnent l'impression que la petite fille de, se sentait obligée de faire démonstration. Or une mise en scène audacieuse peut aussi se faire dans la retenue, il y a des endroits qui selon moi auraient gagné en intensité narrative s'ils avaient été traité par la réalisation avec plus de discrétion, parfois un bon champ/contre champ est plus impactant au final qu'un mouvement de caméra compliqué baigné d'une lumière flashy. J'ai aussi été parfois mis en dehors par des artifices de mises au points, des flous, dont je n'ai pas toujours saisi ce qu'ils voulaient me signifier de plus que ce que me disaient déjà les dialogues, comme une redondance de l'information qui loin de la souligner, alourdissait le propos.
      16 mars 2025 Voir la discussion...
  • lewis_
    (à propos de The Last Showgirl)
    Sa note :
    The Last Showgirl “ La fin du mépris envers Pamela ? Ambiance enivrante, entêtante, glamour. Hélas, il manque à cette fable quelques pages et plus de Curtis. ” — lewis_ 1 février 2025
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Casting de The Last Showgirl

Infos sur The Last Showgirl

Réalisé par Gia Coppola

États-Unis - 1h29 - Drame
Sortie le 12 mars 2025

Synopsis

Shelly, une danseuse de cabaret expérimentée, doit faire face à son avenir lorsque son spectacle à Las Vegas est brusquement interrompu, après 30 ans de représentation. Danseuse dans la cinquantaine, elle peine à trouver quelle suite donner à sa carrière. Et en tant que mère, elle cherche à réparer une relation tendue avec sa fille, qui a souvent été reléguée au second plan par rapport à sa famille d'artistes.

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