Jicop le proscrit

(1957)

un film de Henry Levin

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41%
10 notes
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Micro-critique star (veroniquevergnau) :

(à propos de Jicop le proscrit)

Sa note :

“ Dans ce western psychologique, récit d'apprentissage, la belle poursuite du mustang blanc métaphorise la relation père repenti, fils haineux ” — veroniquevergnau 10 mai 2023

1 commentaire

veroniquevergnau
(à propos de Jicop le proscrit)

Sa note :

“ Dans ce western psychologique, récit d'apprentissage, la belle poursuite du mustang blanc métaphorise la relation père repenti, fils haineux ” — veroniquevergnau 10 mai 2023
1 commentaire
- commentaire modéré Deux longues silhouettes se confrontent celle de Jack Palance (Volodymyr Palahniuk, fils d'ukrainiens mineurs d'anthracite) et son étrange visage sculpté, le père et le fils "abandonné" Anthony Perkins, grande bringue toute en minceur, refus, reproches et bouderies. Le chemin sera long pour rétablir le véritable "roman familial" et instaurer entre eux un respect mutuel et même une entraide nécessaire (le fils devenant les yeux du père défaillant). On peut regretter que les deux personnages ne soient davantage fouillés, Anthony Perkins se contentant de bouder et maugréer. Les scènes de mustangs galopant demeurent cependant splendides.
  10 mai 2023 Voir la discussion...
commentaire modéré
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Hedgehog
(à propos de Jicop le proscrit)

Sa note :

“ J. Palance ou le retour du père prodigue, aussi peu convaincant qu'un A. Perkins bien effacé. Western-psychodrame, assez mou de la gâchette. ” — Hedgehog 21 février 2025
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0pnaha
(à propos de Jicop le proscrit)

Sa note :

“ Plein de bons sentiments mais malgré un touchant J.Palance, western gâché par un ensemble qui manque d'âme et l'apathie d'Anthony Perkins. ” — 0pnaha 12 janvier 2018
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